Mais c'est E. Sasha Breaden Yeeah !
Messages : 68 Date d'inscription : 24/10/2010
| Sujet: sasha ♥ better say hello, don't you dare say goodbye Mar 26 Oct - 16:08 | |
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made by tumblrelyssasashabreaden
Hé, toi ! Viens par là pour que je te dise qui je suis ! Alors je m'appelle Sasha Breaden. J'ai actuellement 22 poussières d'étoiles derrière moi. Oui parce que le 13 juin est la date où on me vénère chaque année. Et Denver est la ville qui a eut la chance de me voir naître. Je suis actuellement célibataire. Ce que je fais dans la vie ? C'est bien simple je suis étudiante en deuxième année d'art, et travaille à la galerie d'art. A Melbourne je suis simplement un(e) groupe. | | | | |
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« Je ne comprends pas pourquoi tout le monde fait toute une histoire de son passé. Le passé n'est pas ce qui compte. Le passé est le passé. Ce qui compte, c'est ce qui arrive maintenant, et avec un peu d'ambition, ce qui se passe ensuite. Mais puisque je ne peux pas y échapper, voici comment tout à commencé. » Sasha. Prénom de 5 lettres reflétant l'énergie, le courage, mais aussi l'impulsivité, la méfiance et la prudence. Voilà une bien maigre définition de ce que représente la jeune femme. On ne peut pas décrire cette jeune femme par de simples mots. Sasha est un ensemble, un tout. Une jeune femme aux abords ordinaires, qui vaut tout de même le détour. Lorsque l'on pense à Sasha, on pense immédiatement à un immense rayon de soleil. Cette boule d'énergie incroyable, capable de redonner du courage ou du bonheur à quelqu'un rien qu'en lui souriant. Ce petit bout de femme qui rit à tout bout de champs et pour n'importe quoi. Son humour, ferait mourir de rire (ou de peur) n'importe qui tellement il est déplorable. Sa légendaire maladresse anime souvent les soirées entre amis. Voilà de quoi faire sourire quelqu'un à nouveau. De nature prévenante et affective, elle porte vraiment très grande attention à son entourage. Elle estime que les liens qu'elle fonde sont à long terme et ne sont pas faits pour être brisés. Sa confiance se gagne durement, mais une fois qu'elle nous est donnée, elle nous est de grande aide. Pour ainsi dire, ses amis sont sa vie. Elle ferait n'importe quoi pour eux, que se soit se lever à une heure inimaginable de la nuit pour réconforter, ou travailler des dizaines d'heures supplémentaires dans ses petits boulots (qui d'ordinaire paient ses études de justesse) afin d'offrir le cadeau de rêve à un ami, Sasha est littéralement capable de tout. Elle pourrait les défendre bec et ongle, même à tord. Mais s'il est difficile d'accaparer sa confiance, imaginez ce qu'il arrive lorsqu'on la perd, pour n'importe quelle raison. Fragilisée par son enfance, la jeune femme, malgré son sens de l'amitié et de l'hospitalité, se méfie de tout. Elle reste prudente par n'importe quelle situation, et on pourrait aisément dire qu'elle est la personne ayant le plus de sang-froid que l'on connaisse. D'un naturel pacifiste et féministe, elle serait capable d'aller sauver les baleines et de manifester si on lui en donnait l'occasion. Vous l'aurez compris, Sasha est une jeune femme qui n'a pas froid aux yeux et qui a soif d'aventure. Parfois marginale, son plus grand rêve serait de faire le tour du monde, avec pour seul compagnie un sac sur le dos, dormir à la belle étoile et s'intégrer aux différentes cultures. Mi courageuse, mi froussarde, c'est souvent son impulsivité qui l'emporte sur sa réflexion. Pourtant la jeune femme n'est pas faite que de qualités, elle est d'une possessivité incroyable et c'est ce qui lui vaut beaucoup de problèmes. Elle a tendance à être rêveuse, vulnérable et parfois même impressionnable. Elle est pourtant dotée d'une immense franchise, après avoir passé sa vie dans le mensonge quoi de plus normal, mais le plus impressionnant chez la jeune femme, c'est sa capacité à se mettre en colère si rapidement et surtout si violemment que même King-Kong paraîtrait aussi ridicule qu'un bisounours à côté d'elle. Cette forte personnalité s'est doucement forgée lors d'une enfance pas tout à fait comme les autres. Tout commence à Denver, un certain 13 juin 1988. « Félicitations, madame Breaden, c'est une petite fille. Comment souhaitez-vous l'appeler ? » « Où... où est mon mari ? Je ne peux pas décider sans lui ! » « Je suis désolée, madame. Il ne viendra pas, il dit avoir un empêchement. » « Un empêchement... Dans ce cas, ce sera Elyssa. Elyssa Sasha Breaden. Infirmière, donnez-moi ma fille ! » « C'est un très joli prénom, madame Breaden. Mais... mais que faites-vous ? Non ! Madame, non, vous ne pouvez pas vous en aller ! » « C'est mon mari ! Il doit encore être avec sa pétasse ! Je dois partir... Il ne doit pas me retrouver ! S'il mettait la main sur Elyssa... Non, je dois partir ! NON ! Laissez-moi passer ! » « Madame, tout va bien, vous êtes en état de choc... Vous venez d'accoucher, restez au moins jusqu'à demain... » Ils lui donnèrent un sédatif, afin qu'elle stoppe son accès de violence. Le lendemain, elle n'avait plus prévu de partir. Elle avait reçu un appel de monsieur Breaden, et elle lui avait instinctivement pardonné. Elle ne pouvait plus fuir, elle voulait qu'il vienne la chercher et qu'ensemble ils rentrent tous à la maison. C'est ce qu'ils firent, et pendant quelques mois, tout se passait à merveille, même si les tensions avaient été ravivées. « Stiles, où étais-tu ? Tu as vu l'heure ? Il est pratiquement une heure du matin ! » « Chérie, ce n'est pas le moment, je suis fatigué. » « C'est ça, ce n'est pas le moment... De toute façon, avec toi, ce n'est JAMAIS le moment ! Tu étais encore avec elle, c'est ça ? » « Je passe mes journées au boulot, pendant que tu restes dans le canapé à t'occuper de la gosse ! Tu veux peut-être qu'on échange les rôles, hein ? Tu préfères peut-être que je lise le journal à longueur de temps et que tu bosses douze-heures par jour, si ce n'est pas plus ? Je fait tout ce que je peux pour que tu manges autre chose que des pâtes et du steak, et c'est comme ça que tu me remercies ? » « Mais oui, allons-y ! Échangeons les rôles, que je vois un peu à quoi ressemble ta pétasse ! Elle doit être à ton goût, pour que tu passes tout ton temps avec elle, plutôt qu'avec ta femme qui vient d'avoir TON enfant ! » « Sarah, ne me parle pas sur ce ton ! » « Oh, mais bien sûr ! Tiens, pourquoi on ne l'inviterait pas à dîner, ta pétasse ? Que dirais-tu de jeudi soir ? Steak et pâtes, je suis sûre que ça fera l'affaire, son niveau social doit pas être bien haut pour qu'elle se fasse sauter par un homme marié ! » Et c'est ainsi que la première claque vola. Homme qui frappe une fois, frappera encore, dit le dicton. Les parents de Nathanaël n'échappèrent pas à la règle. Plus les années passèrent, plus la situation se dégradait. Madame Breaden avait bien tenté de faire ses bagages, mais à peine la colère retombée qu'elle pardonnait tout à son mari et qu'elle dépliait ses affaires. Les menaces de son mari étaient aussi pour quelque chose. Il la menaçait régulièrement de lui enlever sa fille, si elle avait le malheur de partir. Sasha, âgée de quatre, cinq, six ans, se réfugiait toujours dans le placard du couloir, en-dessous des escaliers, lorsque de telles disputes se produisaient. Vers l'âge de six-sept ans, alors qu'elle avait l'âge de sortir dans le quartier, elle rencontra un petit garçon du même âge, chez qui elle passait tout son temps, Lukas. Sa famille semblait tellement mieux que celle de la fillette. Chez lui, tout allait bien. Ses parents étaient heureux, ils s'aimaient. C'est sûr que c'était une toute autre atmosphère chez elle. Et rapidement, alors que ses horizons s'élargissaient, une haine grandissante nâquit en elle. Une haine envers ses parents, envers son foyer, envers toute sa famille. Elle avait bien tenté de convaincre sa mère, mais alors qu'elles partaient toutes les deux dans un hôtel cafardeux, il se passait à peine deux jours avant qu'elles ne finissent par retourner à la maison. Et c'était toujours la même scène qui se reproduisait en boucle : son père finissait par apeler sa mère, s'excusait. Sa mère lui raccrochait au nez, et prise d'un élan d'affection, décidait de faire un autre essai. Toutes les deux revenaient alors chez elles, sa mère et son père se réconciliaient alors pour la semaine et le même scénario se rejouait indéfiniment. Et de plus en plus souvent, elle se rendait chez ce petit Lukas, y passait parfois des jours avant de rentrer chez elle. Cela lui rapportait bien évidemment quelques claques, mais si c'était le prix à payer pour quelques jours de délivrance, alors soit, qu'il en soit ainsi. Lukas et elle devinrent les meilleurs amis qui puissent exister. Encore mieux que des meilleurs amis, pratiquement comme des frères et sœurs. A leur majorité, ils claquèrent la porte, et Sasha suivit Lukas jusqu'en Australie, ne voulant pour rien au monde le quitter, et pour sa part, jamais elle ne revint à Denver.
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- Citation :
made by aprilmay | memories. dans le monde du net, on m'appelle. 16 ans, actuellement j'ai. Et parler en yoda, j'aime. Si tu veux savoir qui est ma célébrité sur l'avatar, et bien c'est MILAsexyKUNIS Et sur le forum, tu pourras me voir quatre fois par semaine. Et voilà, je pense avoir terminé avec ma présentation.
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